Faucheur ou moissonneur aiguisant sa faux : Peinture
de Georges Laugée. Huile sur toile.
Salon de Saint-Quentin de 1887.
Collection privée. Commentaire de Louis
Albin lors du Salon de Saint-Quentin de 1887 extrait
du « Glaneur » du 26 juin 1887 : « Le
Faucheur de M. Georges Laugée est une étude d’une saisissante virilité. Assis en plein champ, sur les herbes
qu’il vient de couper, le rude travailleur, sévèrement
hâlé, superbement musclé, affûte sa large lame.
Il se détache nettement, dans la pleine lumière,
sur l’or mat des grands blés, égayés de coquelicots,
qui se balancent d’un lent mouvement de va-et-vient
aux brises de la pleine. Le Faucheur est d’une puissante
facture. »
Il existe une version en aquarelle de 1921 présentée au Salon
des Artistes Français au Grand Palais. (Hors
Concours)